Willie
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Willie
Vous vous réveillez en sursaut, couvert de sueur. Une fois de plus, votre sommeil était hanté par ces damnés marcheurs. Vous êtes étendu sur un lit de fortune fait de vulgaires feuilles de carton. Exténué par une longue journée de marche, vous vous êtes endormit sans même fouiller les environs.
Vous vous trouvez sous un pont permettant à une petite route d'enjamber une vallée peu profonde. Un large tuyau de drainage vous sert de refuge, fermé aux deux extrémités par un grillage que vous êtes parvenue à écarter la veille. Un contaminé est là, plaqué contre le grillage, et tente sans succès de vous agripper avec ses mains décharnées. Votre sac à dos repose a vos pieds. Ce dernier contient vos maigres provisions : une boite de sardines, une grande bouteille d'eau à moitié pleine, une fourchette et un ouvre-boite. Votre arme, un démonte pneu, est également là.
A en juger la position du soleil, il est tôt le matin, probablement 5 ou 6 heures. Il fait beau et le ciel est dégagé. Nous sommes au début de l'été et il fait chaud. Vous apercevez à l'extérieur la même forêt de feuillus qui vous a suivi pendant ces dernières semaines. Aucun autre marcheur à l'horizon.
Vous vous trouvez sous un pont permettant à une petite route d'enjamber une vallée peu profonde. Un large tuyau de drainage vous sert de refuge, fermé aux deux extrémités par un grillage que vous êtes parvenue à écarter la veille. Un contaminé est là, plaqué contre le grillage, et tente sans succès de vous agripper avec ses mains décharnées. Votre sac à dos repose a vos pieds. Ce dernier contient vos maigres provisions : une boite de sardines, une grande bouteille d'eau à moitié pleine, une fourchette et un ouvre-boite. Votre arme, un démonte pneu, est également là.
A en juger la position du soleil, il est tôt le matin, probablement 5 ou 6 heures. Il fait beau et le ciel est dégagé. Nous sommes au début de l'été et il fait chaud. Vous apercevez à l'extérieur la même forêt de feuillus qui vous a suivi pendant ces dernières semaines. Aucun autre marcheur à l'horizon.
- FICHE DE JEU:
ÉTATS : Petit creux, soif
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Démonte pneu, Petit sac à dos -> [ 1x sardines en boite, 1x grande bouteille d'eau (50%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite ]
VÊTEMENTS : - Chandail gris à manches longues (sale et usé)
- Veste à carreaux bleu (sale et usé)
- Pantalon brun (sale et usé)
- Bottes de randonné brunes (très usées)
Bonus :- Appétit de moineau
- Astronome
- Bon système immunitaire
- Estomac de plomb
- Lève-tôt
- Robuste
- Sauvage
Malus :- Alcoolique
- Insomniaque
- Malchanceux
- Appétit de moineau
Dernière édition par Ankou le Lun 7 Juil - 5:56, édité 2 fois
Re: Willie
Je me réveille enfin, tiré d'un sommeil parsemé de créatures toutes plus hideuse les unes plus que les autres. J'étais encerclé par ces barjots de cannibales et ils ne me lâchaient pas d'une semelle. J'avais beau me cacher, ils me trouvaient, j'avais beau me sauver, ils me rattrapaient. Quel cauchemar. Même les dernières réserves de whisky que je me suis envoyé avant d'aller au lit ne m'ont pas aidé.
Ce pont qui m'a servit d'abris ma rappel mille et un souvenirs. Plus d'une fois j'ai squatté ce genre d'endroit et ce bien avant la contamination. Je me lève et aperçois cette pourriture me fixer à travers le grillage. De gros lambeaux de chair se détache de son visage difforme et reste accroché à la mince protection me séparant de lui. Ses yeux livides et injectés de sang n'ont plus rien d'humain. Ses haillons couverts de boue composaient autrefois un complet cravate. Le râle d'agonie qu'il émet me rappelle celui d'un cochon que l'on égorge. Ce sont probablement ces mêmes gémissements qui ont empoisonné mon sommeil.
Je prends mon temps... aucune chance qu'il ne défonce ce grillage de métal. J'attrape mon vieux sac à dos et en déverse le contenue à mes pieds. Mon estomac crie famine. Je récupère ma dernière conserve - des sardines au citron - et l'ouvre minutieusement. Je dévore le tout en quelques minutes et boit même le jus, je ne laisse aucune miette. Je rince le tout avec quelques gorgés d'eau puis lèche bien ma fourchette pour la nettoyer. Je remballe le tout, équipe mon sac à dos et attrape le démonte pneu qui me sert d'arme. Je m'approche du grillage et fixe longuement le marcheur. Quelle horreur. Je pointe finalement le bout pointue de mon arme en direction de son crâne, vise bien, et enfonce ce dernier droit dans son orbite. Il cesse aussitôt de bouger et s'effondre lourdement sur le grillage. Le démonte pneu émet un craquement visqueux lorsque je le retire. Je nettoie brièvement mon arme en le plantant à plusieurs reprises dans le sol.
Il est tant de regagner la route et de prendre la direction du sud. Le Havre, cette communauté dont tout le monde parle, je dois la rejoindre avant la fin de l'été. Les derniers survivants que j'ai croisés m'ont mis au parfum... Sans me donner trop de détails, ils m'ont seulement dit qu'une fortification se trouvait quelque part au sud. Marre de courir, marre d'être seul. Je dois rejoindre le Havre. Je me glisse donc en dehors du tunnel en soulevant le grillage et je retourne sur la route. Une longue marche m'attends.
Ce pont qui m'a servit d'abris ma rappel mille et un souvenirs. Plus d'une fois j'ai squatté ce genre d'endroit et ce bien avant la contamination. Je me lève et aperçois cette pourriture me fixer à travers le grillage. De gros lambeaux de chair se détache de son visage difforme et reste accroché à la mince protection me séparant de lui. Ses yeux livides et injectés de sang n'ont plus rien d'humain. Ses haillons couverts de boue composaient autrefois un complet cravate. Le râle d'agonie qu'il émet me rappelle celui d'un cochon que l'on égorge. Ce sont probablement ces mêmes gémissements qui ont empoisonné mon sommeil.
Je prends mon temps... aucune chance qu'il ne défonce ce grillage de métal. J'attrape mon vieux sac à dos et en déverse le contenue à mes pieds. Mon estomac crie famine. Je récupère ma dernière conserve - des sardines au citron - et l'ouvre minutieusement. Je dévore le tout en quelques minutes et boit même le jus, je ne laisse aucune miette. Je rince le tout avec quelques gorgés d'eau puis lèche bien ma fourchette pour la nettoyer. Je remballe le tout, équipe mon sac à dos et attrape le démonte pneu qui me sert d'arme. Je m'approche du grillage et fixe longuement le marcheur. Quelle horreur. Je pointe finalement le bout pointue de mon arme en direction de son crâne, vise bien, et enfonce ce dernier droit dans son orbite. Il cesse aussitôt de bouger et s'effondre lourdement sur le grillage. Le démonte pneu émet un craquement visqueux lorsque je le retire. Je nettoie brièvement mon arme en le plantant à plusieurs reprises dans le sol.
Il est tant de regagner la route et de prendre la direction du sud. Le Havre, cette communauté dont tout le monde parle, je dois la rejoindre avant la fin de l'été. Les derniers survivants que j'ai croisés m'ont mis au parfum... Sans me donner trop de détails, ils m'ont seulement dit qu'une fortification se trouvait quelque part au sud. Marre de courir, marre d'être seul. Je dois rejoindre le Havre. Je me glisse donc en dehors du tunnel en soulevant le grillage et je retourne sur la route. Une longue marche m'attends.
Willie- Pieds tendres
- Messages : 7
Date d'inscription : 04/07/2014
Re: Willie
Vous remontez sans trop de difficultés la vallée pour rejoindre la route. Aucun marcheurs à l'horizon, aucun bruit, que le gazouillis paisible des oiseaux. Vous marchez en direction du sud pendant trois longues heures sans croiser âme qui vive.
La position du soleil laisse croire qu'il est entre 9 et 10 heures du matin. Depuis quelques temps, la forêt a laissé place à de vastes terres agricoles. Vous arrivez devant une grande maison de ferme à deux étages, la porte avant ainsi que les fenêtres semblent avoir été fracassés. Derrière la maison se trouve une grange et un silo à grains. Plus loin sur la route, à environ 200 mètres, quatre marcheurs vous barre le chemin. L'un d'eux semble vous avoir repéré et se dirige lentement vers vous. Son pied gauche mutilé, il avance à petits pas, reposant tout son poids sur sa cheville meurtrie entre chaque foulé.
La position du soleil laisse croire qu'il est entre 9 et 10 heures du matin. Depuis quelques temps, la forêt a laissé place à de vastes terres agricoles. Vous arrivez devant une grande maison de ferme à deux étages, la porte avant ainsi que les fenêtres semblent avoir été fracassés. Derrière la maison se trouve une grange et un silo à grains. Plus loin sur la route, à environ 200 mètres, quatre marcheurs vous barre le chemin. L'un d'eux semble vous avoir repéré et se dirige lentement vers vous. Son pied gauche mutilé, il avance à petits pas, reposant tout son poids sur sa cheville meurtrie entre chaque foulé.
- FICHE DE JEU:
ÉTATS : Aucuns
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Démonte pneu, Petit sac à dos -> [ 1x grande bouteille d'eau (20%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite ]
VÊTEMENTS : - Chandail gris à manches longues (sale et usé)
- Veste à carreaux bleu (sale et usé)
- Pantalon brun (sale et usé)
- Bottes de randonné brunes (très usées)
Bonus :- Appétit de moineau
- Astronome
- Bon système immunitaire
- Estomac de plomb
- Lève-tôt
- Robuste
- Sauvage
Malus :- Alcoolique
- Insomniaque
- Malchanceux
- Appétit de moineau
Dernière édition par Ankou le Lun 7 Juil - 5:56, édité 1 fois
Re: Willie
Je marche seul, essayant de tourner mes pensées vers quelque chose de plus heureux que mon passé. Ça doit bien faire deux heures que j'avance sur ce chemin désert lorsque la forêt se transforme en vastes pleines. Ce qui devait être autrefois des champs fertiles ont laissé place a des terres sèches ou pousse tout juste quelques broussailles moribondes. Je continus mon chemin, resserrant ma poigne sur la sangle de mon sac.
Au bout d'une heure je rencontre mon premier bâtiment depuis une semaine. Avant même de pouvoir examiner l'endroit, je remarque quatre marcheurs plus loin sur la route. Ces cons restent plantés là au milieu du chemin, à se laissé cuire par le soleil d'été. L'un d'eux, probablement celui dont la cervelle n'est pas encore totalement grillé, tourne la tête vers moi et se met en route. Il traine de la patte et une bonne distance nous sépare toujours, mieux vaut commencer à fouiller la ferme avant que ces copains ne me remarquent aussi. J'emprunte le petit chemin de terre menant à la ferme... espérons qu'il y a de quoi boire ici. Je trouverais peut-être un whisky pas trop frelaté, ou qui sait, peut-être même un scotch.
J'atteins finalement le porche et y fait une courte pause. La porte à été complètement défoncé mais je ne vois toujours pas à l'intérieur. Trop de soleil dehors et trop d'ombre dans la baraque. Je tend l'oreille, puis j'attrape mon arme à deux mains. J'entre...
Au bout d'une heure je rencontre mon premier bâtiment depuis une semaine. Avant même de pouvoir examiner l'endroit, je remarque quatre marcheurs plus loin sur la route. Ces cons restent plantés là au milieu du chemin, à se laissé cuire par le soleil d'été. L'un d'eux, probablement celui dont la cervelle n'est pas encore totalement grillé, tourne la tête vers moi et se met en route. Il traine de la patte et une bonne distance nous sépare toujours, mieux vaut commencer à fouiller la ferme avant que ces copains ne me remarquent aussi. J'emprunte le petit chemin de terre menant à la ferme... espérons qu'il y a de quoi boire ici. Je trouverais peut-être un whisky pas trop frelaté, ou qui sait, peut-être même un scotch.
J'atteins finalement le porche et y fait une courte pause. La porte à été complètement défoncé mais je ne vois toujours pas à l'intérieur. Trop de soleil dehors et trop d'ombre dans la baraque. Je tend l'oreille, puis j'attrape mon arme à deux mains. J'entre...
Willie- Pieds tendres
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Date d'inscription : 04/07/2014
Re: Willie
Vos yeux s’habituent rapidement à l'obscurité relative qui règne dans cette maison. Vous vous trouvez dans un petit hall d'entrée avec un escalier menant au premier étage devant et une arche de chaque côté, donnant respectivement sur le living-room et la salle à manger. Sous vos pieds, les feuilles mortes, le verre brisé et les débris en tout genre s'entremêlent pour créer un épais tapis.
Le living-room sur la gauche est meublé d'un grand canapé et d'un fauteuil, tout deux rongés par les ravages du temps. Un vieux téléviseur se trouve devant le canapé, avec une grosse armoire et deux étagères. Celles-ci semblent déjà avoir été pillées. À droite la salle à manger. Une immense table trône au milieu de la pièce, entouré d'une bonne dizaine de chaises. Le plafond au dessus de la table s'est effondré, chargeant cette dernière de morceaux de plâtre et de bois. Un vaisselier se dresse dans un coin de la pièce, son contenu semble totalement fracassé. Au fond de chaque pièce de trouve une seconde arche menant à la cuisine.
Le living-room sur la gauche est meublé d'un grand canapé et d'un fauteuil, tout deux rongés par les ravages du temps. Un vieux téléviseur se trouve devant le canapé, avec une grosse armoire et deux étagères. Celles-ci semblent déjà avoir été pillées. À droite la salle à manger. Une immense table trône au milieu de la pièce, entouré d'une bonne dizaine de chaises. Le plafond au dessus de la table s'est effondré, chargeant cette dernière de morceaux de plâtre et de bois. Un vaisselier se dresse dans un coin de la pièce, son contenu semble totalement fracassé. Au fond de chaque pièce de trouve une seconde arche menant à la cuisine.
- FICHE DE JEU:
ÉTATS : Aucuns
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Démonte pneu, Petit sac à dos -> [ 1x grande bouteille d'eau (20%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite ]
VÊTEMENTS : - Chandail gris à manches longues (sale et usé)
- Veste à carreaux bleu (sale et usé)
- Pantalon brun (sale et usé)
- Bottes de randonné brunes (très usées)
DISTANCE PARCOURUE : 9 kilomètres
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Malus :- Alcoolique
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Re: Willie
Je reste immobile dans le hall d'entrée, l'oreille tendu à la recherche d'un quelconque signe me signalant la présence d'une menace. Rien, rien sinon quelques craquements produits par la charpente pourrie de cette vielle baraque. Je fait un pas et j’entends aussitôt le ver craqué sous ma botte. Je prend à gauche et me retrouve dans le living-room. La pièce est grande et seul la lumière provenant des fenêtre brisées me fourni un peu d'éclairage. Je jette un coup d’œil rapide dans la cuisine et entreprend de fouiller le living-room. Je fouille les étagères, l'armoire et je vérifie aussi sous le canapé et le fauteuil... on trouve parfois de drôles de trucs sous les divans.
Je retourne dans le hall et me dirige vers la salle à manger. Je ne m'attends pas à trouver grand chose ici mais qui sait? Ici, le plafond s'est partiellement effondré sur la table, provoquant du même coup un véritable bordel. Par précaution, je relève quelques gravas dans le but de trouver quelque chose d'utile... Peut-être cette table était comblé de nourriture avant d'être enseveli.
Une fois terminé, je me dirige vers la cuisine, mon meilleur espoir de trouver de quoi manger.
Je retourne dans le hall et me dirige vers la salle à manger. Je ne m'attends pas à trouver grand chose ici mais qui sait? Ici, le plafond s'est partiellement effondré sur la table, provoquant du même coup un véritable bordel. Par précaution, je relève quelques gravas dans le but de trouver quelque chose d'utile... Peut-être cette table était comblé de nourriture avant d'être enseveli.
Une fois terminé, je me dirige vers la cuisine, mon meilleur espoir de trouver de quoi manger.
Willie- Pieds tendres
- Messages : 7
Date d'inscription : 04/07/2014
Re: Willie
Vous commencez à fouiller la maison...
Les étagères du living-room contiennent plusieurs livres aux pages jaunis : des romans, des encyclopédies et autres ouvrages. Elles contiennent également quelques figurines sans valeur et un cendrier. Même si elle a été pillé, l'armoire contient toujours un paquet de cartes à jouer et une pile AAA. Vous ne trouvez rien sous le fauteuil et le canapé. Le vaisselier de la salle a diner ne contient que des assiettes cassés. Vous ne trouvez rien sous les décombres de la table.
La cuisine est meublé de plusieurs armoires fixes, déjà ouvertes pour la plupart. Un réfrigérateur, une cuisinière, un évier et un garde manger. En dessous de l'escalier se trouve une porte fermée.
Vous avez légèrement soif.
Vous commencez à ressentir le sevrage d'alcool.
Les étagères du living-room contiennent plusieurs livres aux pages jaunis : des romans, des encyclopédies et autres ouvrages. Elles contiennent également quelques figurines sans valeur et un cendrier. Même si elle a été pillé, l'armoire contient toujours un paquet de cartes à jouer et une pile AAA. Vous ne trouvez rien sous le fauteuil et le canapé. Le vaisselier de la salle a diner ne contient que des assiettes cassés. Vous ne trouvez rien sous les décombres de la table.
La cuisine est meublé de plusieurs armoires fixes, déjà ouvertes pour la plupart. Un réfrigérateur, une cuisinière, un évier et un garde manger. En dessous de l'escalier se trouve une porte fermée.
Vous avez légèrement soif.
Vous commencez à ressentir le sevrage d'alcool.
- FICHE DE JEU:
ÉTATS : Soif, sevrage (alcool)
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Démonte pneu, Petit sac à dos -> [ 1x grande bouteille d'eau (20%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite ]
VÊTEMENTS : - Chandail gris à manches longues (sale et usé)
- Veste à carreaux bleu (sale et usé)
- Pantalon brun (sale et usé)
- Bottes de randonné brunes (très usées)
DISTANCE PARCOURUE : 9 kilomètres
Bonus :- Appétit de moineau
- Astronome
- Bon système immunitaire
- Estomac de plomb
- Lève-tôt
- Robuste
- Sauvage
Malus :- Alcoolique
- Insomniaque
- Malchanceux
- Appétit de moineau
Dernière édition par Ankou le Jeu 10 Juil - 23:35, édité 1 fois
Re: Willie
Une pile et un jeu de cartes... pas si mal. Je pourrai toujours me faire quelques parties de solitaire pour chasser l'ennui. Je me dirige enfin vers la cuisine, le saint Graal de toute piaule. S'il y a de la bouffe ici dedans, c'est certainement ici qu'elle se cache. Un premier coup d’œil sème une graine de doute dans mon esprit. Les armoires sont presque toutes ouvertes, comme si quelqu'un était déjà passé ici. Cette route déserte doit être plus fréquenté que je ne le croyais. Bon sang... Pourvu qu'il y est de quoi boire ici. J'ai des frissons dans tout le corps!
Je me risque tout de même à fouiller la cuisine de fond en comble, puis j'ouvre cette mystérieuse porte qui selon moi, mène au sous-sol.
Je me risque tout de même à fouiller la cuisine de fond en comble, puis j'ouvre cette mystérieuse porte qui selon moi, mène au sous-sol.
Willie- Pieds tendres
- Messages : 7
Date d'inscription : 04/07/2014
Re: Willie
Vous commencez à fouiller la cuisine...
Le réfrigérateur ne contient que des aliments périmés. L'odeur qui s'en échappe est si forte qu'elle passe prêt de vous faire vomir. Vous remarquez néanmoins une bouteille de sauce piquante toujours scellée sous vide. Les armoires ne contienne presque rien sinon quelques assiettes, différents ustensiles, des casseroles et chaudrons de tailles variées et un grand couteau de cuisine. Dans le garde manger, vous dénichez une canne de nourriture pour chien.
Vous ouvrez la porte et un escalier apparait devant vous, un escalier qui semble mener droit dans les abysses de l'enfer. Il fait trop sombre ici pour y voir quoi que ce soit...
Le réfrigérateur ne contient que des aliments périmés. L'odeur qui s'en échappe est si forte qu'elle passe prêt de vous faire vomir. Vous remarquez néanmoins une bouteille de sauce piquante toujours scellée sous vide. Les armoires ne contienne presque rien sinon quelques assiettes, différents ustensiles, des casseroles et chaudrons de tailles variées et un grand couteau de cuisine. Dans le garde manger, vous dénichez une canne de nourriture pour chien.
Vous ouvrez la porte et un escalier apparait devant vous, un escalier qui semble mener droit dans les abysses de l'enfer. Il fait trop sombre ici pour y voir quoi que ce soit...
- FICHE DE JEU:
ÉTATS : Soif, sevrage (alcool)
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Démonte pneu, Petit sac à dos -> [ 1x grande bouteille d'eau (20%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite ]
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Re: Willie
J'ouvre le réfrigérateur et une odeur de décomposition me saisit aussitôt les narines. Je recule instinctivement, redoublant d'effort pour ne pas renvoyer mon petit déjeuner. Quel horreur. Impossible de savoir ce qu'était autrefois ce ramassis de matière noire et infecte. Je m'approche, dégouté, utilisant la manche de ma veste en guise de masque à gaz. J’aperçois une petite bouteille de sauce tabasco toujours dans son emballage. Je la récupère aussitôt et la fourre dans mon sac.
La fouille des armoires s'avère décevante. Je trouve tout de même un couteau de cuisine que je glisse sous ma ceinture. Je récupère également une petite marmite. Pour gagner de l'espace, j'y place le contenu de mon sac à dos puis le place au fond de ce dernier. Je fouille finalement le garde manger et, surprise, y déniche une canne de nourriture pour chien.
* J'en connais un qui vas bien manger ce soir! *
Pas la peine de faire la fine bouche. Dans la situation actuelle, tout ce que je peux me mettre sous la dent fera l'affaire. Je récupère la canne, le sourire aux lèvres et me dirige vers la porte du sous-sol. Je l'ouvre, arme à la main, et me retrouve devant le néant le plus total. Pas question de m'aventurer là sans d'abords trouver une source de lumière. Peut-être trouverais-je quelque chose à l'étage ou dans la grange.
Je me dirige vers le hall d'entrée, prêt a passer le premier étage au peigne fin.
La fouille des armoires s'avère décevante. Je trouve tout de même un couteau de cuisine que je glisse sous ma ceinture. Je récupère également une petite marmite. Pour gagner de l'espace, j'y place le contenu de mon sac à dos puis le place au fond de ce dernier. Je fouille finalement le garde manger et, surprise, y déniche une canne de nourriture pour chien.
* J'en connais un qui vas bien manger ce soir! *
Pas la peine de faire la fine bouche. Dans la situation actuelle, tout ce que je peux me mettre sous la dent fera l'affaire. Je récupère la canne, le sourire aux lèvres et me dirige vers la porte du sous-sol. Je l'ouvre, arme à la main, et me retrouve devant le néant le plus total. Pas question de m'aventurer là sans d'abords trouver une source de lumière. Peut-être trouverais-je quelque chose à l'étage ou dans la grange.
Je me dirige vers le hall d'entrée, prêt a passer le premier étage au peigne fin.
Willie- Pieds tendres
- Messages : 7
Date d'inscription : 04/07/2014
Re: Willie
Vous vous dirigez vers le hall d'entrée...
Au moment ou vous tourner le coin pour passer sous l'arche, une forte odeur de décomposition vous envahie les narines, mais il est déjà trop tard. Un marcheur vous saute dessus et vous plaque au sol. Vous le reconnaissez par ses vêtements, il s'agit du même marcheur qui avait peine à se déplacer sur la route. La créature est sur vous. Vous parvenez à le retenir mais son poids vous empêche de vous dégager. Il claque frénétiquement sa mâchoire à quelques centimètres de votre visage. Un odeur de charogne s'échappe de sa bouche dénué de lèvres, une bave visqueuse et puante coule sur vous... Vos bras se fatiguent rapidement. Dans quelques instants, ce marcheur sera en mesure de planter ses dents pourries dans votre visage.
Dans le chaos, le démonte pneu à glissé à l'autre bout de la pièce, totalement hors de portée.
L'angoisse vous gagne. Vous êtes paniqué.
Au moment ou vous tourner le coin pour passer sous l'arche, une forte odeur de décomposition vous envahie les narines, mais il est déjà trop tard. Un marcheur vous saute dessus et vous plaque au sol. Vous le reconnaissez par ses vêtements, il s'agit du même marcheur qui avait peine à se déplacer sur la route. La créature est sur vous. Vous parvenez à le retenir mais son poids vous empêche de vous dégager. Il claque frénétiquement sa mâchoire à quelques centimètres de votre visage. Un odeur de charogne s'échappe de sa bouche dénué de lèvres, une bave visqueuse et puante coule sur vous... Vos bras se fatiguent rapidement. Dans quelques instants, ce marcheur sera en mesure de planter ses dents pourries dans votre visage.
Dans le chaos, le démonte pneu à glissé à l'autre bout de la pièce, totalement hors de portée.
L'angoisse vous gagne. Vous êtes paniqué.
- FICHE DE JEU:
ÉTATS : Soif, sevrage (alcool), Effrayé
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Démonte pneu, Couteau de cuisine, petit sac à dos -> [ 1x nourriture pour chien, 1x bouteille de tabasco, 1x petit chaudron, 1x grande bouteille d'eau (20%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite, 1x paquet de cartes, 1x pile AAA ]
VÊTEMENTS : - Chandail gris à manches longues (sale et usé)
- Veste à carreaux bleu (sale et usé)
- Pantalon brun (sale et usé)
- Bottes de randonné brunes (très usées)
DISTANCE PARCOURUE : 9 kilomètres
Bonus :- Appétit de moineau
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- Bon système immunitaire
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Re: Willie
La situation a vite tourné au cauchemar. Ce damné marcheur avait totalement sorti de mon esprit et j'ai baissé ma garde. Il me clou au sol et me souffle son haleine putride au nez. Ce véritable cadavre ambulant veut me dévorer tout cru. Je dois le repousser et vite. Mon cœur bat si fort que j'ai l'impression qu'il vas me briser les côtes. J’essaie d'abords de me calmer et de contrôler ma respiration, mais je perd des forces. Où est ce foutu démonte pneu!? Je regarde à droite, puis à gauche... Il est là, a deux mètres de moi... merde, il pourrait aussi bien être sur la lune.
Trouve une solution Willie, bon sang trouve une putain de solution! Le marcheur se débat avec fouge. Difficile de croire qu'un cadavre tout desséché puisse encore posséder tant d’énergie. Pour l'instant, je ne vois que ses dents noircis se rapprocher de moi, et mes bras perdre des forces. Le couteau! Ce couteau que j'ai glissé plus tôt dans ma ceinture est mon dernier espoir... Dans un ultime effort, je retiens le macchabée d'un seul bras et porte l'autre à ma ceinture.
J'attrape le couteau et le plante avec force sous le menton du contaminé...
Trouve une solution Willie, bon sang trouve une putain de solution! Le marcheur se débat avec fouge. Difficile de croire qu'un cadavre tout desséché puisse encore posséder tant d’énergie. Pour l'instant, je ne vois que ses dents noircis se rapprocher de moi, et mes bras perdre des forces. Le couteau! Ce couteau que j'ai glissé plus tôt dans ma ceinture est mon dernier espoir... Dans un ultime effort, je retiens le macchabée d'un seul bras et porte l'autre à ma ceinture.
J'attrape le couteau et le plante avec force sous le menton du contaminé...
Willie- Pieds tendres
- Messages : 7
Date d'inscription : 04/07/2014
Re: Willie
Votre coup frappe mortellement votre assaillant...
La lame s'enfonce profondément sous le menton du marcheur, jusqu'à transpercer sa cervelle. La créature cesse aussitôt de s'agiter et vous tombe mollement dessus. Les râles rageurs font maintenant place au silence paisible de la campagne qui s'engouffre dans chacune des fenêtres. Votre veste et votre chandail sont tachée de sang, le sang noir et puant des contaminés. Miraculeusement, la lutte ne vous a laissé aucune blessure.
La lame s'enfonce profondément sous le menton du marcheur, jusqu'à transpercer sa cervelle. La créature cesse aussitôt de s'agiter et vous tombe mollement dessus. Les râles rageurs font maintenant place au silence paisible de la campagne qui s'engouffre dans chacune des fenêtres. Votre veste et votre chandail sont tachée de sang, le sang noir et puant des contaminés. Miraculeusement, la lutte ne vous a laissé aucune blessure.
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ÉTATS : Soif, sevrage (alcool), nerveux
BLESSURES : Aucunes
INVENTAIRE : Couteau de cuisine, petit sac à dos -> [ 1x nourriture pour chien, 1x bouteille de tabasco, 1x petit chaudron, 1x grande bouteille d'eau (20%), 1x fourchette, 1x ouvre-boite, 1x paquet de cartes, 1x pile AAA ]
VÊTEMENTS : - Chandail gris à manches longues ( sale et usé / taché de sang )
- Veste à carreaux bleu ( sale et usée / tachée de sang )
- Pantalon brun ( sale et usé )
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